Prénom : Persée
Mère(s) : Danaé
Père(s) : ZEUS (il s’est transformé en pluie d’or pour séduire Danaé)
Grand-père(s) : Abas
Fonction : guerrier.
Son exploit : Persée a combattu Méduse, une des trois gorgones, à l’aide de son cheval ailé (Pégase) et du casque d’Hadès. Il a pu échapper aux deux sœurs de Méduse et grâce au bouclier d’Héraclès et à l’épée d’Héphaïstos et aux sandales ailées et le casque d’Hadès ses deux objets remis par Hermès.

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Bonjour, je suis un cyclope, plus précisément un cyclope ouranien même si j’aurais préféré être un cyclope forgeron. Mais j’oublie la bonne manière.
Je m’appelle Brontès, c’est vrai que ma vie est plutôt aisée. Par contre, j’en ai marre de manger tout le temps des moutons, du fromage et des pissenlits. J’aimerais manger un humain pour une fois mais mon père Ouranos me l’a toujours interdit.
Nous vivons dans l’ombre du monde, nous ne nous montrons à personne sauf à notre père. (Créateur) notre père et notre mère (Gaia) nous ont strictement interdit d’aller dans le monde des humains, cela nous a (...)

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Janus est une divinité romaine, dieu des commencements et des fins, des choix, des clés et des portes.
Chez les Romains, c’est le dieu le plus prié avant toutes les autres divinités. Il est avec Portunus* un « dieu des portes » qui préside à l’ouverture de l’année et à la saison de guerre.
Le mois de janvier (january en anglais) auquel le roi Numa donna son nom, lui était consacré.
Janus préside les calendes* de tous les mois de l’année. Varron* précise que « douze autels correspondant aux douze mois lui ont été consacrés ». Associé à Junon, les deux divinités participent conjointement « à la transition (...)

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Pour faire un sacrifice :
Avoir un mouton ou une autre bête selon le dieu
Le bénir (mettre de l’eau sacrée sur l’animal ou l’humain)
Puis l’installer sur un autel, préparer un couteau et le sacrifier (couper au niveau de la gorge de l’animal) puis le sacrifice prend fin.

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Les gens priaient ou accomplissaient des sacrifices en temps de troubles ou de maladie, mais nombreux sont ceux qui jugeaient les anciennes religions peu utiles et insatisfaisantes au niveau spirituel.
Les cultes traditionnels n’offraient qu’un espoir peu réjouissant de la vie dans l’au-delà : le défunt prendrait la forme d’un esprit dans un monde souterrain sinistre. Certaines religions orientales plus exotiques offraient l’espoir d’une vie éternelle et semblaient accorder davantage de sens à l’existence ici-bas.
Un certain nombre de ces cultes se répandit à travers l’Empire, se déplaçant avec les (...)

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